mercredi 3 avril 2013

L'éléphant et le rat

  En politique petit p, les gugusses ça oui ils carburent ! Pas au bio… Même pas au diesel ou à l’essence. Au kérosène peut-être ? Du tout ! A la pompe, c’est peut-être sans-plomb mais pour le reste, c’est cancer direct ! Ego à mort, fric, boutique, chutzpah… Que du bon !
  Alors oui, de suite, on pense à l’autre andouille, tout souriant, ses aveux en poches. Il avait prévenu… « La semaine prochaine, c’est théâtre ! ». Ça a pas loupé ! De gauche à droite, de haut en bas, sinus cosinus tangente… Tous sur les planches, indignés au possible…
Avec ça, on les voit vite les mauvais acteurs… Entre Mélichon le franc-mac sénateur ou Gérard – Filoche de nom – qui la larme à l’œil, tout énervé, nous crie la sainteté du PS, c’était limite les César après l’heure… C’était sans compter Babayerou qui sortant d’un trou, l’envie de gloire – celle d’un jour – s’est vu grand moraliste !... La morale laïque et républicaine, c’est sans fin… A l’UMP aussi c’était théâtre. Bientôt Hollywood ! Effets spéciaux, bruitages, explosions !… Manquait plus que le p’tit Besancenot chialant dans ses bottes…
  Ceci étant, Jean-Jérôme ou Jérôme, plus personne ne sait… déjà oublié… c’est juste qu’une merde, celle d’un rat. Petit joueur. Face à ça, l’éléphant, ça bouge moins mais ça vit plus… Et niveau déchet... rien à voir !... Jérôme, il débute… tout juste niveau un, ceinture blanche… Les gugusses, la masse et le reste, c’est sélectif… Ça sait choisir. Ceinture jaune ? Ceinture verte ? Ceinture noire ? Trop haut ! Trop complexe ! Trop peu visible… Parfois trop… Alors ça se rabat… Du bon marché ou rien ! Du rien niveau cinq ou du rien niveau dix ? En définitive, du rien quand même…