Américain par sa mère,
Juif ashkénaze par son père,
Mérite-t-il qu’on se gêne
A le maintenir sur Terre,
Toujours vivant aux affaires
Plutôt que mort sous ses bombes,
Cadavre largué dans sa tombe.
Son sang et sa politique,
Contaminé par son être
Qui se croit tout haut comme maître
De la voix diplomatique ;
Souhaitant à tout prix la guerre,
Il la veut l’avant-première,
Celle du grand chaos mondial,
Asocial mais tant bestial.
Pour quand est-ce la défection,
Celle de tous les diablotins,
Traitres à la France et catins,
L’étalant de déjections,
Car c’est leur nation porchère
Qu’ils ont vendue pour pas cher,
En fixant ainsi leur sort,
Un jour c’est sûr à la mort.
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