De la capacité de résistance d'un flan

  Pauvre François… Décrié ! Hué ! Humilié ! Élu par défaut des français, laissé en défaut par ses maîtres. C’est comme à la guerre… les troufions devant, en première ligne, les généraux derrière, bien planqués. Flamby lui, forcément, il fait le troufion… pas le choix !

  C’est trop facile, trop lâche d’attaquer un flan ! La gélatine, c’est mou, ça tremble mais au moins, ça encaisse les chocs et tout le reste… Au top quoi ! Ceci dit, c’est tentant ! Le type, il en veut ! Il en demande ! En redemande ! Il se tient plus !

  Les maîtres du système, ceux qui jouent, qui rient noir de nous, ils s’amusent bien avec Flamby. Ils prennent toujours les pires paraît-il… Jackpot ! Entre le vide agité et le vide amorphe, quelle différence ? Tous les deux vides… Pire ! Tous les deux riens, nuls, zéros ! Le monde humain, c’est comme le monde naturel, ça a horreur du vide. Pffft ! La cloche, la nôtre, avec le fromage pourri et puant dedans, elle a pas traîné pour aspirer l’air autour ! Les premiers seront les premiers… Paf ! Voilà François qui débarque ! Heu ?... Tout perdu ! Déboussolé ! Cherchant la sortie…

  Entre temps, les maîtres, les vrais, ils avancent ! A nous projeter leur monde, leur univers dans la gueule, on finit par dire aïe ! Enfin ceux qui peuvent… Les autres, pas d’inquiétude ! Ils sont ravis ! Toujours !... Les jambes trop serrées ? No problem ! Serviables au possible, surtout pour s'écarter… eux et leurs cuisses ! Tantôt sodomisés de l’esprit, tantôt sodomisés tout court… Miam miam ! Encore ! Toujours...

Chutzpah !

   Le François, il nous l’a sorti !... Il a osé ! Aucune contrainte ! Aucune obligation !... Un inconnu parmi tous. Juste député, c’est tout. Mais non ! Plus fort que lui ! Chez certain, la connerie c’est plus fort que tout alors yalla ! No problem ! C’est pas faute d’avoir su… Mais non ! Chutzpah !

« Jérôme, je te charge de la lutte contre la fraude fiscale ! Tu doutes ? Détend-toi, prend mon shit et fonce ! »

   Alors l’autre, ni une ni deux… sans attendre… un peu mou certes… juste défoncé… il l’a fait. Tout sûr de lui, voilà pas qu’il raboule…

« Lutte contre la fraude fiscale - Nanterre, 20 novembre 2012 »

   Fort heureusement, le François, il est bridé… limité… Parce que sinon, c’est direct ceux d’Outreau… les accusés… à l’éducation. Pourquoi pas même Marc Dutroux ? Pire !... Jack Lang… Chutzpah !

    Pauvre François... Mal aimé ! Si bas… Incompris… Comprend pas. Comprend rien même. Se taire sur Jérôme, c’est trop demandé ? A croire que oui !

« Jérôme, bye bye ! »

   Et voilà. Fini la feinte ! Celle de rien savoir... à propos de l’autre et de son compte. Trop tard. La messe est dite. Amen. Pour François, c’est l’atterrissage tout imminent ! Attachez vos ceintures ! Bientôt en rouge, en négatif… détesté… haï… pendu même. Quant à l’autre, le cardiologue, c’est retour au taf, voilier au vent sur un lac… en Suisse... Tant qu’à y être !...

Innovation

    Jusque-là, on braquait quoi ?... une banque, une bijouterie, à la limite une supérette ou une boucherie mais c’était tout. Toujours raisonnable… Pas plus loin... Jamais. Ça c’est Hollywood aussi ! Toujours à nous faire le coup du méchant voleur un peu sale, mal fringué… parfois celui du mec classe, bien nippé et gentleman. Tantôt besoin de fric, tantôt le goût de voler…

    Alors en voyant ça, on se dit que c’est nouveau, tout inédit ! Voler d’un bureau, de son bureau même, on réfléchit mieux… On innove !... Les autres en face, ils ont pas compris. Ils y ont pas cru. Du tout ! Au bout d’une heure quand même, ils ont saisi… Ils avaient bien la référence du rat qui bouffe les réserves, celles de grains, sans un bruit… comme un rat quoi, mais à s’imaginer ça !...

    Nul de « bouge pas sinon j’t’explose ! ». Même pas un « haut les mains » !... Et pourtant, ils ont pris cher les coquins ! En même temps, « 6,75 % sur les dépôts bancaires en-deçà de 100 000 euros et 9,9 % au-delà de ce seuil », c’est pas top sexy comme annonce… Le chypriote, ça a le sang chaud… faut que ça bouge ! Alors que celui d’en haut, avec son costard, il a le temps. Son chauffeur l’attend en bas... Et puis qu’est-ce que ça change à sa vie ? A part les frais de blindage pour chez lui et sa caisse… pas grand-chose…

    La vie, c’est donnant donnant. Faute d’avoir essayé sur leurs propres voleurs, ils ont quand même tenté le coup… Les distributeurs, ça oui ils ont craché… vomi même… jusqu’à la bile ! Pour une cuite, ce fut une cuite ! Mémorable ! Mais au final, rien ! Nada ! Zéro ! Quand c’est plus l’heure, c’est plus l’heure ! Le rat, c’est petit mais c’est futé !... Ça sait prévoir. Pof ! Bloqué ! Et puis ça quitte le navire sans même y être monté.

    Résultat, une bonne gerbe de billets et pas de rat à bouffer, à égorger ; pas de rat à pendre… Juste le capitaine et ses hommes voguant sur Chypre, en pleine mer, à balancer...

   Un jour, peut-être…

Désenchantement

    Il est dimanche, les cloches sonnent depuis la cathédrale ô combien majestueuse, dressée là, bienveillante. Ces cloches dont le son pénètre au plus profond de mon être me rappellent à quel point notre monde s’est désenchanté. Tout est plat. Tout est rien. Pas vide : rien. Le néant quoi. Forcément, la futilité marchande, on sent de suite que c’est pas très consistant. Tout plein d’épaississants, de colorants et tout… Alors voilà… le gogo qui change sa caisse ou son téléphone tous les ans, pour le coup, il aime à s’empiffrer de cette saloperie… il s’en fout partout, comme un porc… ça déborde ! ça gicle !… Plus rien !... Il en demande ! en redemande ! encore… déprimé… excité !… satisfait... plus faim… jusqu’à quand ?... La mort ? La retraite ? Pas plus en tout cas.

    En définitive, au gogo, si on lui enlève l’avoir pour l’avoir ou l’avoir pour l’être, il lui reste plus rien. Zéro moins zéro égal zéro… bien connu… Être, croire, savoir ? Jamais ! Bidon ! Old-fashioned ! Ceci dit, c’est pas sa faute au gogo. Son monde, sa cage qui autrefois laissait paraître, transparaître même le dehors, s’est vue opacifier. Désormais, ce n'est plus qu’un miroir à l’intérieur. Le gogo au gogo. L’homme pour l’homme… Il se complaît à s’observer, lui et son double… son téléphone… sa caisse. Petit garçon deviendra grand. Fini les bisous sur le miroir. Normalement…

Normalement.

De l'intelligence d'un quai

   Une décision d’une grande intelligence vient d’être prise par le quai d’Orsay ! Avec le mariage pour tous, allons-y gaiement ! Livrons des armes aux rebébelles syriens ! Une bande de bras cassés qui ne tire sa force qu’au travers du nombre. Les syriens avaient déjà la mer et ses vagues qui venaient lécher leurs plages de sable. Avec les rebébelles, faite place aux vagues d’amateurs, d’alcooliques, de drogués et autres fanatiques venus d’ici et là ; de là-bas surtout… en fait, surtout pas d’ici, en Syrie !...

    Alors voilà, Flambouille le gogoy et Fabius, l’homme français mais qu’un peu, ils ont tranché : livrons des armes aux rebelles ! Ziva ! Ouèch ! Nique ta race !

    Malin malin donc surtout qu’au même moment, Obama et ses potes c’est-à-dire Kerry l’ami personnel de Bachar, Hagel l’homme tant « aimé » du lobby juif et Brennan le futur finisseur de la racaQaïda négocient déjà la fin des attaques avec Assad et Poutine.

    Alors c’est là qu’intervient la France ! Parce que d’accord ou non, les autres, c’est la France qu’ils voient, pas Hollande notre mascotte nationale !... Les zivas en Syrie, ils savent plus quoi penser ! Entre la guerre aux mêmes qu’eux-mêmes au Mali et le Noël en plein mois de mars, difficile de choisir !... Oh et puis les armes, ça se refilent ! Les collègues en Afrique, pour tuer du français ou de l’amateur malien, c’est toujours utile une arme française... Car en définitive les balles, entre un français et un rebelle, aucune différence...

La Lame et le rat

Faisons l'inventaire,

Celui des rats,

Car le rat l'est,

Nuisible pour tous.

Ressortons-la l'invention,

Faite de bois et d'acier,

De cordes et d'osier,

Faite pour les rats.

On veut l'entendre,

Fendre l'air,

Et surtout leur tête,

Aux rats, ceux de l'inventaire.

Réchauffement subventionné de la bêtise

    L’homme à l’origine du réchauffement climatique ?... Hein ?... What ?...

    D’ici peu, l’heure sera aux grands scientifiques, aux grands experts même qui affirmeront que le tropisme des hommes vers l’Occident fut certainement la cause d’une accélération du mouvement de rotation. Lequel ? Celui de la Terre sur elle-même. Une belle pirouette quoi !... Flip !

    Car l’homme, grand animal prétentieux – pour le meilleur et pour le pire – aime à s’attribuer des phénomènes qui le dépassent, lui bien sûr mais surtout son compte en banque bien garni des ventes des derniers frigos… des derniers écrans plats aussi… ceux qui ne rejettent que dix grammes de CO² au kilomètre-heure... dix ou vingt d’ailleurs… plus personne ne sait… personne n’a su même… Jamais donc toujours… Telle la bêtise humaine...

Appel aux dons pour l'entretien éternel de la mémoire

    Le 19 mars prochain, nous commémorerons la nouvelle Shoah par balles perpétrée par Mohamed Merah l'islamo-racaille ; sorte de mélange entre Jason Bourne et un sous-prolétaire américain des ghettos. Ziva !...

    Par respect pour les quatre victimes tuées par ce nouvel Hitler libéral-mondialiste – prononcez « limon » – plus les six millions de morts de la première Shoah, ce qui nous donne au total dix millions de morts, il sera demandé à chaque français d’adresser un chèque de cent euros à l’ordre du CRIF ainsi qu’un chèque supplémentaire de soixante euros payable en trois fois sans frais à l’ordre de Bernard-Henri Lévy dit « le Grand Libérateur ».

    Toute personne n’écoutant pas ses yeux en pleurs sera poursuivie pour révisionnisme antisémite et se verra extradée en Israël – à Paris plus exactement – pour s’y voir jugée par un tribunal de rabbins juifs orthodoxes pouvant prononcer la peine de mort pour le goy comme le préconise la Torah et plus précisément encore le Talmud.

L'Arabie des porcs

Arabie Saoudite : domaine privée de la famille Saoud maintenu en vie selon le bon vouloir des américains ; américains trouvant de plus en plus inutile et encombrant ce « régime archaïque de nouveaux riches » ; l’autosuffisance énergétique de leur propre pays rendant le pétrole « saoudien » sans intérêt.

Traduction : Pour ceux qui seraient tentés de visiter le domaine privé de 215 millions d’hectares des Saoud (inutile de comparer avec votre jardin…), faites « vite » avant que ce « truc » ne ressemble à gâteau prêt à être coupé en trois voire en cinq parts !...

Dernier hommage pour un Homme

    N’en déplaise à un certain nombre de connards ici et là, un Homme, un vrai vient de disparaître. Hugo Chavez était l’antithèse de nos énarques et Cie telle la merde molle Hollande ou la merde dure Mélenchon. La Politique, celle avec un grand P, bien trop souvent méprisée ici en France et partout ailleurs est avant tout un combat viril et Hugo Chavez l’aura démontré parfaitement en n’hésitant pas à risquer sa vie – physiquement – pour faire triompher son idéal ; chose impensable pour nos professionnels de la politique – « petit pet » – entourés de vingt gardes du corps :

« Trop de risque d’encaisser un éclat lointain de tarte à la crème !... »

    Au-delà de la devise – républicaine – française un peu creu-creuse et surtout franc-mac sur les bords – n’est-ce pas Mélichon ? – le Venezuela au travers de Chavez a su montrer que la liberté ne se résumait pas qu’à la liberté de consommer mais aussi et surtout à la liberté de l’esprit, maître du corps et de lui-même. Et puis, en replaçant la Nation – grand N… – au centre du Politique c’est un bras d’Honneur – grand H… – qu’il envoie à toutes nos sociétés post-modernes ; sociétés vidées de leur substance, et donc de leur chefs. Pam !

    En fait, Hugo Chavez agit sur terre comme au ciel à la manière d’un miroir double. Le premier pour ceux qui se « battent » pour le Bien, le Beau, le Vrai en étant un modèle incontestable de l’incarnation du Politique. Le second pour tous ces hommes et femmes – « fiottes-étrons » conviendrait mieux – qui officiellement nous dirigent en révélant avec clarté leur côté grotesque, lâche et méprisable. 

    Est-ce le destin de la France d’être guidée par des principes sataniques, sorte de voie vers la décadence où laid et Beau, mal et Bien et Vrai et faux sont inversés ? Nul ne le sait. Quoiqu’il en soit, cela ne doit pas nous empêcher de nous battre, modestement certes, pour nous-même et nos proches voire pour tous c’est-à-dire pour la France, comme un certain Hugo Chavez l’eut fait pour son pays, sa patrie, le Venezuela.

Qu’il repose en paix.

Lettre ouverte à Satan

    Et Dieu disparut !... Et pof ! Enfin pof… Disons en trois siècles. Les petits malins derrière tout ça, ils avaient le temps. L’égoïste de toute façon, ça l’a toujours le temps. « Laisse-moi finir, j’arrive ! Trente secondes ! »

Trois siècles…

    Alors voilà, on en est là… Satan ou non, on peut pas dire que ce soit folichon ! La marchandise, c’est bête et pourtant, quand on nous voit nous autres, bande de gogos, on peut douter… La futilité, ça passe alcoolisé mais à jeun !... Car l’admiration normalement, c’est pour le Beau, le Bien, le Vrai. Alors que viennent foutre le moche, le mal et le faux ici ? Fini la plaisanterie ! Satan sort de ce corps ! Peut-être te plais-tu, petite merde, à changer le sel en poivre ou l’eau chaude en eau froide mais de là à tout inverser !... Il paraît que les cons ça osent tout…

T’es grillé !...

    C’est quoi la suite ? Parce que si le haut, c’est comme le ciel, c’est infini, le bas à force de creuser, tu finis par remonter, c’est mathématique ! Ceci étant, gardons-nous de toute projection ! Tu nous as bien servi la lutte pour le pouvoir d’achat comme le grand combat des temps, le « pédé » comme l’avenir de l’espèce humaine ou la démocratie comme le système politique du Bien… Tu veux quoi de plus ?

Stop les conneries !

    L’homme les conneries, ça peut en dire, en faire, en voir mais au bout d’un moment, ça vomi. Alors prend garde ! Parce que si Dieu revient, toi et tes potes, aïe aïe aïe ! Au début de sa décadence, la France et la guillotine, c’était comme cul et chemise alors à la fin, histoire de rendre hommage ou juste en guise de démo, ce sera autant de fois « sang frais » qu’il faudra. Une sorte d’ultime téléshopping tout gratuit ! Clic clac ! Et puis toi, nul ne sait ! Point d’idée. Alors comme pour tout sado-maso, on te laissera là, en bas, dans l’indifférence.