jeudi 28 mars 2013

De la capacité de résistance d'un flan

  Pauvre François… Décrié ! Hué ! Humilié ! Élu par défaut des français, laissé en défaut par ses maîtres. C’est comme à la guerre… les troufions devant, en première ligne, les généraux derrière, bien planqués. Flamby lui, forcément, il fait le troufion… pas le choix !
  C’est trop facile, trop lâche d’attaquer un flan ! La gélatine, c’est mou, ça tremble mais au moins, ça encaisse les chocs et tout le reste… Au top quoi ! Ceci dit, c’est tentant ! Le type, il en veut ! Il en demande ! En redemande ! Il se tient plus !
  Les maîtres du système, ceux qui jouent, qui rient noir de nous, ils s’amusent bien avec Flamby. Ils prennent toujours les pires paraît-il… Jackpot ! Entre le vide agité et le vide amorphe, quelle différence ? Tous les deux vides… Pire ! Tous les deux riens, nuls, zéros ! Le monde humain, c’est comme le monde naturel, ça a horreur du vide. Pffft ! La cloche, la nôtre, avec le fromage pourri et puant dedans, elle a pas traîné pour aspirer l’air autour ! Les premiers seront les premiers… Paf ! Voilà François qui débarque ! Heu ?... Tout perdu ! Déboussolé ! Cherchant la sortie…
  Entre temps, les maîtres, les vrais, ils avancent ! A nous projeter leur monde, leur univers dans la gueule, on finit par dire aïe ! Enfin ceux qui peuvent… Les autres, pas d’inquiétude ! Ils sont ravis ! Toujours !... Les jambes trop serrées ? No problem ! Serviables au possible, surtout pour s'écarter eux et leurs cuisses ! Tantôt sodomisés de l’esprit, tantôt sodomisés tout court… Miam miam ! Encore ! Toujours...

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