Dichotomie : n.f. : Division de quelque chose en deux
éléments que l'on oppose nettement.
Bilan humain imputable au fascisme [italien] : une centaine
de morts en ratissant large…
Bilan humain imputable au régime communiste soviétique :
plusieurs dizaines de millions de morts (sans ratisser…).
Bilan militaire du fascisme [italien] à la fin de la seconde
guerre mondiale : défait.
Bilan militaire du régime communiste à la fin de la seconde
guerre mondiale : victorieux.
Bilan médiatique des [rares] fascistes en 2014 : « Attend un
peu que j’t’éclate ! »
Bilan médiatique des communistes en 2014 : « Et sinon, ça va
chez toi ? Tu veux une bière ? »
Conclusion : si l’Italie fasciste et plus généralement
l’Allemagne nazie et ses alliés avaient remporté la guerre, l’insulte
pavlovienne de base n’aurait pas été « facho ! » mais plus un truc du genre «
communo ! », « bolcho ! » ou « gaucho ! ». Mais dans les deux cas, la plupart
des gugusses qui emploieraient ces qualificatifs [plus vite que leur ombre]
auraient été tout aussi incapables de donner une définition, ne serait-ce
vague, du fascisme tout comme du communisme.
Conclusion finale : la plupart des jeunes gens se réclamant
de l’antifascisme en France (essentiellement des jeunes issus de la petite
bourgeoisie, fils et filles de profs pour beaucoup) ne sont que des girouettes
à la solde du vainqueur et donc du pouvoir en place ; chose vérifiée cent fois
lorsqu’on constate la quasi-immunité juridique (cf. par exemple le vandalisme
qu’a subi la librairie Facta) ou le traitement médiatique présentant les «
antifas » (l’organisation) comme des héros (cf. l’affaire Méric).
Bien entendu, la reconnaissance et l’acceptation de cette
évidence leur est impossible puisqu’alors, cela mettrait fin à leur raison
d’être (il est commun de dire qu’un fou qui se sait fou n’est plus fou…). A la
limite, leur seul intérêt positif serait de servir de détecteurs d’opposants réels
au système de domination actuel (et non de fascistes ou mieux encore, de fachos
!…) puisqu’un système de domination quel qu’il soit n’attaque que s’il se sent
menacé.
Pendant l’occupation, la France a connu la Milice composée
en très grande majorité de lâches en quête de reconnaissance, d’autorité et de
servitude volontaire ; milice supplétive de la police officielle de l’époque et
de la Gestapo.
En 2014, la France connait aussi une milice composée du même
caviar de lâches, assistant la police comme il se doit en l’appelant si besoin
est. Par conséquent, proposons-leur de porter un magnifique brassard « MILICE »
dédicacé par le ministre de l’intérieur offert sans limite d’âge, sans limite
de poids et sans limite de résistance aux coups…
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