Bienvenue dans le monde de la bourse où les plus grands
prestidigitateurs tels Bernanke ou Draghi déversent leurs potions magiques,
leurs liquidités, pour inonder le gogo trader de féerie.
Bienvenue dans le monde réel où, à force de tour de
passe-passe sur les « travailleurs », les métamorphosant au passage en
chômeurs non-consommateurs, les entreprises éblouissent le monde de la bourse
avec leurs résultats records.
Bienvenue dans le monde immonde où l’illusion est reine mais
seulement en sa tête car ça gronde plus bas.
Illusion du virtuel contre désillusion du réel.
A quand le match ?
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